L’évaluation des risques professionnels pour les taxis
Comment une entreprise de taxi peut-elle évaluer ses risques professionnels ?
Grace à sa solution en ligne, CaptainRisk permet aux gérants d’entreprises de transport de personnes assises ou couchées et employant plusieurs chauffeurs, d’évaluer leurs risques professionnels en vue de la réalisation du document unique pour les sociétés de taxis ou de véhicules sanitaires légers.
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Ci-après trouvez les principaux risques professionnels rencontrés par cette profession. Pas moins de 35 facteurs de risques sont proposés dans la base de données. En quelques clics, le gérant de société de transport en taxi pourra prévenir les risques encourus par les chauffeurs.
Bien informer les chauffeurs
Il conviendra de bien informer les chauffeurs pour diminuer par exemple les risques de contamination issu de germes restés dans l’habitacle ou encore leur proposer des initiations aux gestes et postures afin de limiter les douleurs liées aux sténoses du canal rachidien entrainant des lombalgies. Le document unique pour les taxis sert aussi à ça.
Les principaux facteurs de risques rencontrés
- L’absence d’intérêt pour les contrôles préventifs (accident)
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La manutention des bagages ou colis (TMS, lumbago)
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L’assistance lors de l’entrée ou de sortie des passagers
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Les contaminations par l’air ambiant (infections respiratoires et cutanées, rhume, grippe)
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Les arrêts sur la voie publique (accidents, fractures, traumatisme)
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Les pannes en bordure de route (collisions, choc, décès)
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L’agressivité et les violences proférées (stress, accidents, traumatismes)
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La conduire de nuit (stress, fatigue, accident, perte d’acuité visuelle)
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Réaliser la course dans les délais trop courts (accidents, stress)
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L’utilisation des téléphones portables (accidents mortels ou graves)
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La météo maussade et les températures extrêmes (déshydratation, rhume, maladies)
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L’habitude et les longs parcours (déconcentration, fatigue, accident)
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L’absence d’hygiène de vie (fatigue, stress, maladie, accident)
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La position assise (TMS, sciatique)
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Les montées et les descentes de l’habitacle (TMS, lombalgies)
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La méconnaissance de l’utilisation (incendie, électrocution, stress)
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L’utilisation de la souris et du clavier (TMS, infection cutanée, mycoses)
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L’insuffisance d’éclairage (fatigue oculaire, TMS)
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Le manque d’espace sur le bureau (TMS)
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Travail prolongé en position assise (TMS)
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Le travail sur écran (fatigue visuelle, baisse de l’acuité)
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Les trajets domicile/Travail (accidents de la route)
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Les manœuvres sur les parking (accident, choc)
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Les croisements entre véhicules et piétons (chocs, collision, accident, blessures)
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Les portes vitrées (hématome, contusions, traumatisme)
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Les zones sombres (chutes)
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L’encombrement des sorties de secours (incendie, brûlures, intoxication)
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Les dépôts sauvages de marchandises (chute, contusions)
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Les escaliers (chutes de plein pied, fracture, traumatisme)
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Les sols glissants ou dégradés (Chutes de plein pied, collision, choc)
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L’utilisation de produits chimiques (allergies, brûlures cutanées et oculaires, intoxication par inhalation)
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Les variations de température (rhumes, maladies)