Outil en ligne d’évaluation
des risques psychosociaux

 

Ouvrez un compte pour utiliser l’outil en ligne d’évaluation des risques psychosociaux de votre entreprise dès à présent.

Ce logiciel fournit des résultats spectaculaires. Sa mise en œuvre est immédiate car il fonctionne en mode SaaS. Le suivi des campagnes est disponible à tout instant.

Visualisez en un clin d’œil toutes les évaluations des domaines analysés (Cliquez sur le bouton « voir un exemple »).

Il est utilisable par toutes entreprises et dirigeants soucieux de connaitre les risques psychologiques de leurs salariés.

Ci-dessous quelques éléments d’explications pour mener à bien les campagnes d’évaluations.

phare phare

Les 6 domaines explorés


Les contraintes de votre travail

Votre autonomie au travail

L'organisation et le management

Les relations avec vos collègues

Votre santé et votre bien-être

Votre vécu professionnel




Comment évaluer les risques psychosociaux ?



Pour évaluer les risques psychosociaux [1] il faut partir du postulat que ce type de risque existe et qu’il est nécessaire de l’intégrer dans la prévention des risques professionnels globaux de l’entreprise. Le principe de l’évaluation est basé sur les réponses apportées à un questionnaire spécialement conçu pour l’évaluation des RPS, adressé aux salariés dans le cadre d’une ou plusieurs campagnes mises en place dans un programme général d’évaluation. Pour mener ces campagnes, leurs réussites reposent sur 3 piliers :

 1. La préparation
 2. Le déroulement
 3. La restitution

La préparation:

C’est certainement le point le plus important. Le risque à évaluer étant invisible, les salariés qui seront invités à répondre au questionnaire via une enquête anonyme devront au préalable du lancement, être informés des attentes de l’entreprise, de leurs implications dans la campagne en fournissant des explications sur les tenants et les aboutissants de cette démarche. Si cette phase est mal abordée les résultats attendus (Evaluation la plus juste possible du risque psychosocial) ne seront pas au RDV (Pas de participation, formulaire partiellement ou pas remplis, réponses insincères, biais cognitif…)
Pour commencer il est important de nommer un référent de campagne RPS. Ensuite il faut parler de l’objectif de la campagne d’évaluation : son cadre légal, la détection de comportements illégaux, anticiper sur la réduction des arrêts de maladie [2], vois l’amélioration du management. Insister sur le fait que la campagne s’inscrit dans le plus strict anonymat. Enfin expliquer l’organisation et le timing. Cette approche est capitale d’une part pour obtenir l’adhésion de tous, et d’autre part s’assurer de la fidélité des réponses. En clair cette étape de la préparation fait baisser le niveau de craintes et d’anxiété vis-à-vis de l’évaluation [3] et donc augmente le taux de participation.

Le déroulement:

Une fois informés et préparés, les acteurs de la campagne, c’est-à-dire la ou les personnes organisatrices, devront pourvoir agir et interagir en toute quiétude sans subir de contraintes liées à l’organisation. L’ensemble doit donc être piloté depuis un ordinateur via une solution en ligne qui permettra l’adressage du questionnaire [4], le pilotage de la campagne (Indicateurs d’avancement) et la restitution des données sous forme de statistiques. Le responsable de campagne saura être disponible pour répondre aux questions survenues en cours de campagne. En d’autres termes le protocole de mise en place de la campagne, de son suivi et de sa restitution doit être le plus simple et fluide possible. On veillera seulement à ce que tous les participants répondent aux questionnaires (Relance des retardataires / Vision des ratios de participation…)

La restitution des résultats:

En fonction de la coloration des résultats ceux-ci devront être restitués avec soins. Cette restitution pourra se faire de manière collective en diffusant les résultats globaux (Indicateurs clés avec analyse des organisateurs de la campagne) mais aussi individuels en proposant des RDV pour les salariés qui le souhaitent avec personnes ressources de l’entreprise (RH, CSE, Direction). En cas de risques considérés comme élevés portant sur un pourcentage conséquent des participants, alors la direction prendra l’initiative de mener des plans d’actions appropriés visant à réduire le risque psychosocial détecté.

Conclusion

L’évaluation des risques psychosociaux, dont le harcèlement moral, répond à l’obligation légale de l’employeur de mesurer ce risque. Les résultats de l'évaluation pourront être adossés au document unique de prévention des risques professionnels, conformément au code du travail et des principes généraux de prévention. C'est aussi détecter des mal-êtres pour certains salariés. Parallèlement il permet aussi de travailler sur l’ensemble de la démarche de la qualité de vie et des conditions au travail (QVCT)

En produisant une photographie à un instant « T » par le biais de l’analyse de 6 domaines de vie au travail, les dirigeants auront une base objective pour décider de la mise en place de préventions [5] et de plans d’actions correspondant, visant à diminuer les RPS dans l’entreprise.

Il n’y a pas de bonnes décisions sans analyse précise de la situation au préalable.

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[1] Les quatre grandes familles de risques psychosociaux

Il existe quatre grandes familles de risques psychosociaux:

 1. Le stress (Appréhension et/ou surcroit de tâches dans un temps court)
 2. Le harcèlement (Acte de déstabilisation psychique, le plus souvent par sa hiérarchie, parfois par ses pairs)
 3. Le mobbing (Terrorisme organisationnel)
 4. Le burn-out (Activité professionnelle excessive sur un temps long, représente < 20% des arrêts de maladie)


[2] Des arrêts maladie de plus en plus nombreux dû au RPS

Les arrêts maladie liés aux risques psychosociaux comme le stress, le burn-out ou encore la dépression, sont de plus en plus nombreux. Il va sans dire qu'il est urgent de mettre en place les préventions appropriées.


[3] Pourquoi évaluer les risques psychosociaux?

Evaluer les risques psychosociaux pour:

 • Déterminer des souffrances individuelles ou collectives pour la santé de chacun
 • Détecter des dysfonctionnements dans l'organisation et donc améliorer la productivité
 • Améliorer le climat social et la responsabilité sociétale des entreprises ou groupements d'entreprises


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[4] Le questionnaire COPSOQ

Il existe de nombreuses études ou rapports relatant le traitement des données utilisées pour les questionnaires des RPS. Le questionnaire COPSOQ (Copenhagen Psychosocial Questionnaire). Il a été développé par l'institut national de santé au travail du Danemark. Il nous est apparu comme étant le plus approprié.

Le COPSOQ est un questionnaire dont les domaines examinent les exigences quantitatives, cognitives et émotionnelles au travail. Quatre aspects sont intéressants à développer :

 1. La terminologie et la classification des domaines et des échelles pour une compréhension identique de tous les salariés quels que soient le secteur et le pays d'origine
 2. La validation scientifique des données par une équipe de chercheurs français. Ces derniers ont publié leurs travaux dans un rapport qui confort l’exigence de fiabilité des données
 3. La version courte du questionnaire et facilement utilisable par les entreprises
 4. L'universalité européenne et donc utilisable par toutes les entreprises de la communauté


[5] Quelle prévention, pour prévenir les RPS

Il existe 3 grandes familles de prévention:

 1. La prévention dite "Primaire" pour prévenir, qui consiste à combattre le risque à la source. Ces préventions - nécessairement collectives - font appel à l'expérience des organisations et du management. Elles ne sont donc pas exploitables par le premier venu.
 2. La prévention dite "Secondaire", pour protéger, face à une situation connue en vue de réduire les conséquences sur les personnes. L'amélioration de l'organisation interne et les formations juridiques, managériales, de gestion du stress ou autres thérapies cognitives, sont des solutions à ce type de prévention.
 3. Enfin, la prévention dite "Tertiaire" pour réparer, afin de gérer l'impact négatif des RPS sur les individus. Elle nécessite, pour des personnels en souffrance, un traitement adapté et urgent relevant de la médecine du travail ou de spécialistes des questions de thérapie cognitive.





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